Les structures annulaires en Afrique : mode de mise en place Exemple : Adar des Iforas, MALI. Messum,Namibie . Ashkal , Hoggar.

Abstract

Plus de 625 complexes annulaires à travers l'Afrique et l'Arabie ont été sélectionnés et classés sur la base d’association pétrographique et chronologie en six grands groupes d'âge formant 29 provinces. Les groupes vont de la Midu Protérozoïque au Tertiai re et comprend du gabbro, du granite, de la syénite, de la syénite de froid et des roches plutoniques de carbonatiez, la majorité dans la forme de dykes annulaires, de nappes coniques, de bouchons, d'intrusions circulaires et de leurs phases extrusives associées. Panafricain tardive ou les complexes post -orogéniques (720-490 Ma) sont fréquents dans les boucliers arabo-nubiens et Touaregs d'Afrique du Nord du magmatisme dérivé de la zone de subduction. Complexes anorogéniques en Egypte, NE et Soudan central, Niger, Nigeria, Le Cameroun, Le Zaire-burundi le Malawi, le Mozambique, le Zimbabwe, la Namibie et l'Angola s'étendent sur 550 à 50 Ma et sont principalement granites alcalins et syénites plissées. De nombreux groupes se présentent sous forme de bandes en échelon dans des réseaux linéaires et montrent des centres en migration d'intrusion dans des directions variables. En Afrique de l'Ouest, il y a eu un déplacement progressif de la mise en place vers le sud au début De l'Ordovicien au Crétacé moyen. Les schémas de distribution suggèrent que les caractéristiques profondes, telles que les zones de cisaillement associées aux mouvements des plaques lithosphériques, fusion contrôlée, et la localisation résultante des complexes.