Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document :
https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/132
Affichage complet
Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
---|---|---|
dc.contributor.author | BOUKRI, Souhila | - |
dc.date.accessioned | 2019-03-10T13:05:30Z | - |
dc.date.available | 2019-03-10T13:05:30Z | - |
dc.date.issued | 2016 | - |
dc.identifier.uri | https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/132 | - |
dc.description.abstract | Leila Sebbar se caractérise par une écriture fortement nourrie de métissage et de syncrétisme identitaire. Ses écrits nous ont interpellées par leurs thématiques et leurs esthétiques scripturales. Installée dans deux cultures, occidentale et orientale, Leila Sebbar née d’un père algérien et d’une mère française, met en scène, par le biais de l’écriture, la deuxième génération d’immigré en France appelée communément les beurs. Dans Le Chinois vert d’Afrique, Parle mon fils, parle à ta mère et Schérazade, 17 ans, brune, frisée, les yeux verts, l’auteure décrit une génération confrontée à la marginalisation, le rejet, l’errance et l’exclusion. Elle offre au lecteur des personnages ayant une double référence culturelle grâce à laquelle ils opteront pour une identité métissée. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université d'Oran 2 Mohamed Ben Ahmed | en_US |
dc.subject | Exclusion-Rejet-Errance-Métissage-Espace-Mythe. | en_US |
dc.title | L’exclusion dans les œuvres de Leila SEBBAR Corpus étudiés : Le Chinois vert d’Afrique, Parle mon fils, parle à ta mère et Shérazade 17 ans, brune, frisée, les yeux verts. | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Collection(s) : | Doctorat français |
Fichier(s) constituant ce document :
Fichier | Description | Taille | Format | |
---|---|---|---|---|
1these.pdf | 4,36 MB | Adobe PDF | Voir/Ouvrir |
Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.