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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorGUERRAB, Yasmina-
dc.date.accessioned2021-01-03T11:00:01Z-
dc.date.available2021-01-03T11:00:01Z-
dc.date.issued2011-
dc.identifier.urihttps://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/3181-
dc.description.abstractNous arrivons à la fin de notre travail en ayant dégagé un ensemble de remarques. D’abord, même si les élèves arrivent plus ou moins à exprimer leurs opinions à travers les indices d’énonciation, cela ne nous a pas empêché de déceler des lacunes se situant au niveau : - du lexique affectif par lequel le locuteur cherche à attirer la sympathie ou l’estime du public ainsi qu’à montrer son image sous son meilleur jour. Ce vocabulaire est mal ou insuffisamment utilisé par les élèves- scripteurs. - De l’adaptation au destinataire, afin de disposer de son argumentation en fonction de ce qu’il sait de la nature du lecteur (son niveau, son statut, ses penchants politiques ou culturels, etc.) - De la valeur des pronoms personnels utilisés. L’emploi de la première personne (au singulier ou au pluriel). Ensuite, le nouveau programme du secondaire et plus précisément celui de la 3èmeAS, même s’il a été théoriquement conçu selon une vision discursive et dans une perspective énonciative, néomoins il n’offre pas les moyens stratégiques ou méthodologiques permettant l’application en classe de ce cadre théorique. En effet, on ne prend pas en considération les conditions indispensables pour que l’élève s’implique réellement sur le plan du langage ainsi que sur le plan cognitif. Aucun paramètre n’est cité dans les documents officiels pour évaluer l’implication et la prise de position de l’élève dans son écrit argumentatif. Nous tenons à ajouter aussi, que notre recherche a soulevé beaucoup de questions restées souvent sans réponses car nous supposons que la récente conception du nouveau programme du Français au secondaire, n’offre pas suffisamment de temps pour pouvoir combler les différentes lacunes enregistrées. Et nous estimons aussi que ces mêmes interrogations pourraient devenir de futures pistes de réflexion qui se prolongeraient dans le domaine de l’énonciation. En voici quelques unes : - Comment pousser l’élève à prendre conscience de son rôle de « sujet parlant » ? et aussi de son pouvoir de persuasion, à travers son discours argumentatif ? - Quels sont les moyens à mettre à la disposition de l’élève pour qu’il puisse choisir le genre de relation à entretenir avec son discours : prendre distance ou au contraire s’impliquer fortement ou modérément, selon l’objectif de son discours ? - Comment emmener l’élève à prendre en considération la présence de l’autre grâce à la détermination de son intention discursive ? Enfin nous pensons qu’un projet centré sur l’expression du « Moi » avec les différents moyens linguistiques, fournit le cadre approprié pour une mise en perspective, richement productive, des diverses occurrences de la notion d’argumentation.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Oran 2 Mohamed Ben Ahmeden_US
dc.titleLes indices d'énonciation dans l'écrit argumentatif cas de la 3 ème ASen_US
dc.typeThesisen_US
dc.number.totalPage139en_US
Collection(s) :Magister français

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