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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorBOUTARENE Amina-
dc.date.accessioned2023-12-08T00:21:39Z-
dc.date.available2023-12-08T00:21:39Z-
dc.date.issued2018-06-
dc.identifier.urihttps://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/6619-
dc.descriptionBien qu’elle soit difficile à récupérer, l’eau souterraine est recherchée pour sa qualité. En effet, elle peut contenir des microbes et des poisons, mais plus souvent, elle s’en débarrasse après un long trajet dans les roches. Tout au long de ce travailen_US
dc.description.abstractL’étude des eaux de la plaine de la M’léta nous a permis d’arriver aux conclusions suivantes : La plaine de la M’léta est caractérisée par un climat méditerranéen, semi-aride, où les variations interannuelles et inter-saisonnières sont très importantes. De ce fait, les précipitations sont irrégulières et dépassent rarement 300 mm/an. L’étude géologique a révélé la présence de deux grands ensembles différents. Le premier est représenté par un bassin où se développe une importante sédimentation post nappe (plaine de la M’léta) et le deuxième par un ensemble complexe d’unités allochtones ou nappes tectoniques (Monts Tessala). Les Monts de Tessalas, constituent une zone d’alimentation importante, permettant à la nappe de la M’leta d’être constamment en équilibre hydrodynamique. Au niveau de la zone subsidence (plaine de la M’léta), une partie de l’eau s’infiltre rapidement vers la nappe, surtout au niveau des cônes de déjection) alors qu’une autre partie va s’épandre directement dans la sebkha d’Oran. L’établissement des cartes piézométriques relatives à la nappe libre, a montré la présence d’un écoulement souterrain de direction Sud-Nord (des monts Tessala vers la Sebkha). L’alimentation de cette nappe se fait, soit dans les secteurs d’affleurement des formations carbonatées, soit aux niveaux des formations plio-quaternaires, ou encore, aux niveaux des cônes de déjection des principaux oueds. Les travaux géophysiques et les connaissances hydrogéologiques du secteur d’étude ont mis en exergue deux formations aquifères majeures. Les calcaires mio-pliocènes qui sont considérés comme étant l’aquifère le plus important de la région et les formations récentes de la pleine de la M’léta qui recèlent une nappe phréatique alluviale. Cette nappe présente un intérêt moindre du point de vue qualitatif et quantitatif. Cependant, un troisième aquifère peut être signalé dans la pleine de la M’léta, à savoir, celui des niveaux plio-quaternaires. Cet aquifère forme une nappe intermédiaire entre la nappe libre et le complexe mio-pliocène.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversite d'oran 2en_US
dc.subjectHydrogeologieen_US
dc.titleApport de la géophysique à la connaissance de l’hydrogéologie du versant nord des Tessalas (partie orientale de la plaine de la M’léta)en_US
dc.typeThesisen_US
dc.number.totalPage50pen_US
Collection(s) :Master Sciences de la Terre

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memoire.pdfBien qu’elle soit difficile à récupérer, l’eau souterraine est recherchée pour sa qualité. En effet, elle peut contenir des microbes et des poisons, mais plus souvent, elle s’en débarrasse après un long trajet dans les roches. Tout au long de ce travail4,59 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


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