Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/3338
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorBahri, Oum El Kheir-
dc.date.accessioned2021-01-24T10:02:23Z-
dc.date.available2021-01-24T10:02:23Z-
dc.date.issued2012-
dc.identifier.urihttps://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/3338-
dc.description.abstractLa religion musulmane énonce et prescrit toutes les règles relatives au comportement des hommes quel que soit leur domaine d’action. Donc l’Islam n’est pas seulement une religion, il est également un système juridique dont les valeurs sont considérés comme les plus importantes chez les musulmans. Elles ont un impact sur tous les domaines et elles constituent un véritable mode de vie. Par conséquent l’islam présente une législation parfaite pour régir tant les relations individuelles que sociales. Dans ce sens les transactions financières ont aussi leur part de cette législation. « La finance islamique » ce titre renvoie à une réalité encore visible matérialisée par l’existence d’un réseau financier dans de nombreux pays. En réalité, l’expression de la finance islamique suggère la concomitance de deux termes : finance et islamique. En effet le terme finance englobe toutes les institutions bancaires et financières, les assurances et les marchés financiers. L’adjectif islamique évoque d’importantes différences entre la finance islamique et son homologue conventionnel car cela est dû aux caractères religieux des transactions financières. La finance islamique se mondialise ; elle semble fasciner l’occident et exciter la curiosité des financiers qui y voient un creuset d’innovations financières. Du fait de sa capacité à innover et à s’ouvrir, elle apparait comme une formidable opportunité pour les banques conventionnelles qui leur constitue un moyen alternatif pour investir et une façon supplémentaire pour lever des fonds importants. D’autre part la finance islamique tire sa spécificité de l’application des principes religieux qui satisferont beaucoup plus les besoins financiers d’une communauté musulmane que ceux d’une communauté non musulmane et cela est dû aux divergences existantes entre les lois adoptées. Le problème qui se pose réside dans le respect des règles du droit islamique dans un contexte de droit national des pays occidentaux ou encore parvenir à faire coexister des financements conventionnels et des financements islamiques. Par ailleurs la finance islamique constitue un instrument incontournable d’équilibre économique qui permet de faire face à la crise financière actuelle mais il reste à cette industrie financière actuelle des défis à relever avant de s’imposer dans les circuits contemporains de la finance mondialeen_US
dc.language.isootheren_US
dc.publisheruniversité d'oran2en_US
dc.subjectCharia; Mocharaka; Ijara; Istisna; Soukouks; Riba; Takafol; Salem; Gharar; Moudharabaen_US
dc.titleLa finance islamique compartiment De la finance d’aujourd’huien_US
dc.typeThesisen_US
dc.number.totalPage204en_US
Collection(s) :Magister Droit Public

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
Bahri Oum El Kheir.pdf1,29 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.