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https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/330
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | BELHOCINE, Lakhdar | - |
dc.date.accessioned | 2019-04-11T10:17:00Z | - |
dc.date.available | 2019-04-11T10:17:00Z | - |
dc.date.issued | 2011 | - |
dc.identifier.uri | https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/330 | - |
dc.description.abstract | L'Idée de l'effet de levier est extrêmement simple, où la rentabilité différentielle " rentabilité économique moins charge financière fait apparaître un gain (si la rentabilité économique est supérieure au taux d'intérêt, sinon, on va avoir l'effet inverse appelé coût de massue), plus en s'endette, plus est grand ce gains. Donc une existence d'une structure optimale du capital. Les traditionnelles, sans pouvoir le démontrer ni fixer ce niveau optimal d'endettement, ont confirmé l'existence d'une telle structure. Mais Modigliani et Miller (1958) ont initiées un important débat théorique quant à la portée réel du levier de la dette dans la politique financière des entreprises. Leur démonstration est basée sur une technique particulière concernant les choix des investissements sur les marchés financiers : celle de l'Arbitrage. Ils suggèrent que les facteurs explicatifs d'une structure du capital optimale ne pouvaient ce situer que dans les imperfections du marché. D'abord, la fiscalité introduite par M&M en 1963, l'endettement ce trouve privilégié, la valeur de la société endetté est égale a la valeur de la même société non endettée plus la valeur actuelle des économies d'impôts due à la déductibilité des intérêts. Ensuite l'introduction des coûts de faillite, puisque l'augmentation de la dette fait croitre la valeur des gains fiscaux, ensuite la valeur de la firme, mais avec l'augmentation de la dette, différents coûts naisses, comme la probabilité de faillite. A un point donné les coûts de faillite contrebalancent les gains fiscaux, c'est la structure optimale du capital. Cette structure optimale devient un ratio cible, mais les entreprises peuvent temporairement s'en écarter en raison de déséquilibres ponctuels entre les sources et les besoin de financement, dans une telle situation, les sociétés qui se sont écartées de leur ratio cible tentent ensuite de s'en rapprocher. Les sociétés dont l'endettement est supérieure au ratio cible seraient d'avantage amener à émettre des fonds propres. En revanche, une société qui se trouve sous son niveau d'endettement optimal aurait d'avantage tendance à combler ses besoins de fonds par l'endettement. On a conclu que l'EGH El Aurassi suivait une politique de financement hiérarchique. A savoir une préférence pour les fonds internes, et cela malgré la grande capacité d'endettement de la société. Puis le choix serait le financement externe indirect par les emprunts bancaire ou financière et enfin la publication des titres d'action a revenu variable. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université d'Oran 2 Mohamed Ben Ahmed | en_US |
dc.subject | Modigliani; Miller; Structure de capital; Bourse; Finance moderne; Finance organisationnelle; Théorie de l'Agence; Asymétrie d'information; Jensen; Meckling. | en_US |
dc.title | La Structure du capital de l'entreprise et création de valeur : le cas EGH El-Aurassi | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Collection(s) : | Magister Sciences Economiques |
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