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dc.contributor.authorHAMZA, LEMIS-
dc.date.accessioned2023-12-24T11:27:22Z-
dc.date.available2023-12-24T11:27:22Z-
dc.date.issued2019-07-18-
dc.identifier.urihttps://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/6829-
dc.descriptionLes précipitations représentent le facteur le plus important du climat tant pour les populations que pour les écosystèmes. Très affectée par les modifications du climat qui touchent plusieurs régions dans le monde depuis déjà plusieurs décennies, l'Algérie dont les ressources hydriques sont limitées connaît des périodes d’irrégularité très prononcée durant les cycles hydrologiques principalement dans les régions de l’ouest algérien où le rif marocain bloque la plupart des événements pluvieux venant de l’atlantiqueen_US
dc.description.abstractAu terme de ce travail, nous avons voulu mettre en évidence le comportement des précipitations selon une échelle temporelle et spatiale. En faisant abstraction de tous les aspects physiques du bassin versant de l’oued Khémis qui à notre avis n’avaient pas d’influence directe surtout sur l’intensité des pluies. Ce bassin considéré comme très complexe vu l’état avancé des formations karstiques principalement l’exokarst qui influe sur la répartition de la lame d’eau écoulé qui pourrait être dans certaines zones quasiment nulle. Notre travail s’est basé exclusivement à l’analyse des précipitations selon la méthode Gumbel validée par celle des moments. Vu l’irrégularité de la pluie au niveau du bassin mais le calcul de l’indice des précipitations saisonnier a identifié un comportement modéré autrement dit des saisons moyennement arrosée. Notre application a mis en exergue une durée de précipitation ne dépassant pas cinq jours avec une intensité plus importante dans les premières heures puis devient plus infime vers les 72h ce qui fait pensé que le début des événements pluvieux dans notre bassin sont les plus dangereux et les plus catastrophiques. sur le plan temporelle, la méthode intensité-durée – fréquence a pu être appliquée aisément avec des données journalières et annuelles d’où la possibilité de l’estimation de la lame d’eau écoulée paramètre majeur pour l’évaluation des débits et aussi pour le dimensionnement des ouvrages hydrauliques pour minimiser les catastrophes. Quant aux temps de retour retrouvés, il en ressort que les évènements après 72 h ont une tendance à la baisse régit contrairement aux premières heures qui auront un impact sérieux sur le bassin vu la tendance à la hausse annoncé pour les averses à venir. En perspective, il serait judicieux d’intégrer une étude de sensibilité des pluies pour pouvoir dégager les incertitudes pour une éventuelle étude de modélisation au niveau du bassin versant de l’Oued Khemisen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité d’Oran 2en_US
dc.subjectRisques Naturels et Gestionen_US
dc.titleEVALUATION ET ANALYSES DES LAMES D’EAU ECOULEES PAR LA METHODE « INTENSITE-DUREE-FREQUENCE »AU BASSIN VERSSANT DE L’OUED KHEMIS (TAFNA,ALGERIE OCCIDENTALE).en_US
dc.typeThesisen_US
dc.number.totalPage59 pen_US
Collection(s) :Master Sciences de la Terre

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