Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document :
https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/4395
Affichage complet
Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
---|---|---|
dc.contributor.author | Berrezoug, Hanaà | - |
dc.date.accessioned | 2021-10-13T10:01:02Z | - |
dc.date.available | 2021-10-13T10:01:02Z | - |
dc.date.issued | 2014 | - |
dc.identifier.uri | https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/4395 | - |
dc.description.abstract | Ce travail se propose d’analyser trois cas d’exil à travers trois auteurs Américaines contemporaines qui présentent des contre-discours à travers leurs protagonistes visant à reconfigurer des notions relatives à l’exil telles que : l’appartenance, la patrie et l’identité. Nous discutons la structuration et le développement de l’identité chez les protagonistes feminins des romans de Cristina Garcia (Dreaming in Cuban), de Mohja Kahf (The Girl in the Tangerine Scarf) et de Toni Morrison (The Bluest Eye). Le choix de ses auteurs en l’occurrence Critina Garcia, une Cubaine-américaine, Mohja Kahf, Une Arabe-américaine et Toni Morrison, une Afro-américaine est principalement motivé par l’aspect typiquement représentatif de l’altérité de leurs cultures respectives. Notre hypothèse consiste à dire que les trois protagonistes de ces romans tâchent à construire de nouvelles définitions à l’exil qui pourraient défier toutes les conventions et les contraintes. Ce travail propose une double lecture des trajectoires des protagonistes et des auteures qui se servent de leurs personnages pour défier l’impérialisme et la suprématie. Ce travail cherche à démontrer comment les auteures s’attèlent à une révision de l’Histoire à travers le retour de leurs protagonistes à leurs patries, où elles découvrent que l’écriture de l’Histoire est subjective. Dans l’écriture de l’Histoire, la victime entreprend un rôle passif ce qui rend cette écriture un acte approprié par l’Occident qui a longtemps exercé sa supériorité sur les pays du tiers-monde. Dans un contexte littéraire, les auteures invitent les lecteurs à se méfier de l’Histoire dont le narrateur est omniscient. En définitive, cette thèse propose une nouvelle lecture de l’expérience de l’exil qui, dans l’ère actuelle, peut servir plutôt que démunir ses sujets. Cette nouvelle lecture présente l’exil comme avantageux parce que la patrie devient une entité temporelle plutôt que géographique. De ce fait, la nostalgie de l’exilé est assouvie par ses souvenirs et non par un retour à la patrie. Cette lecture propose à son tour de nouvelles définitions de la notion de l’appartenance. The present thesis presents a critical study of how three contemporary ethnic American women writers present three exile cases and counter hegemonic discourses throughout them as regards notions of belonging, home and identity. The process of identity making is discussed through an examination of the female protagonists’ development in Cristina Garcia’s Dreaming in Cuban, Mohja Kahf’s The Girl in the Tangerine Scarf and Toni Morrison’s The Bluest Eye. I have chosen a Cuban American, an Arab American and an Afro-American writer as typical representatives of the cultures of the “other” in the USA in order to back up the argument of alterity. In the discussion of these works, the focus is on how the protagonists construct new meanings of exile that challenge previous conventions regarding the concept. While the protagonists resist conventional meanings of exile as well as gender roles and patriarchy; throughout their works, the authors react against imperialistic and supremacist structures and seek to recuperate the sense of pride in cultural difference. In this research, I attempt to highlight how these three literary works are counter-narratives at many levels. On the one hand, the protagonists celebrate the feminist call for gender equality and defy the patriarchal structures in their respective societies; and thus create a counter-narrative regarding gender issues. On the other hand, they create counter-narratives regarding the histories of their respective homelands that are hitherto narrated by the omniscient Western narrator. At yet another level, the protagonists present counter-narratives regarding their cultural practices that have hitherto been regarded as archaic, backward, and not fit to adapt to the avant-garde changes of the Western world. | en_US |
dc.language.iso | en | en_US |
dc.publisher | univ oran 2 | en_US |
dc.subject | Exile / Patrie / Nostalgie / Appartenance / Identité / Hybridité / Assimilation / Fierté Ethnique | en_US |
dc.title | Being and Space Representation Dislocation and Identity Malaise of Exiled Characters in Ethnic American Fiction | en_US |
dc.title.alternative | Case Studies: Dreaming in Cuban (Cristina Gracía), The Girl in the Tangerine Scarf (Mohja Kahf), The Bluest Eye (Toni Morrison) | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
dc.number.totalPage | 270 | en_US |
Collection(s) : | Doctorat Anglais |
Fichier(s) constituant ce document :
Fichier | Description | Taille | Format | |
---|---|---|---|---|
THESE COMPLETE PDF.pdf | 1,79 MB | Adobe PDF | Voir/Ouvrir |
Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.