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https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/4380
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | Berrezoug, Hanaà | - |
dc.date.accessioned | 2021-10-12T07:56:09Z | - |
dc.date.available | 2021-10-12T07:56:09Z | - |
dc.date.issued | 2014 | - |
dc.identifier.uri | https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/4380 | - |
dc.description.abstract | Ce travail se propose d’analyser trois cas d’exil à travers trois auteurs Américaines contemporaines qui présentent des contre-discours à travers leurs protagonistes visant à reconfigurer des notions relatives à l’exil telles que : l’appartenance, la patrie et l’identité. Nous discutons la structuration et le développement de l’identité chez les protagonistes feminins des romans de Cristina Garcia (Dreaming in Cuban), de Mohja Kahf (The Girl in the Tangerine Scarf) et de Toni Morrison (The Bluest Eye). Le choix de ses auteurs en l’occurrence Critina Garcia, une Cubaine-américaine, Mohja Kahf, Une Arabe-américaine et Toni Morrison, une Afro-américaine est principalement motivé par l’aspect typiquement représentatif de l’altérité de leurs cultures respectives. Notre hypothèse consiste à dire que les trois protagonistes de ces romans tâchent à construire de nouvelles définitions à l’exil qui pourraient défier toutes les conventions et les contraintes. Ce travail propose une double lecture des trajectoires des protagonistes et des auteures qui se servent de leurs personnages pour défier l’impérialisme et la suprématie. Ce travail cherche à démontrer comment les auteures s’attèlent à une révision de l’Histoire à travers le retour de leurs protagonistes à leurs patries, où elles découvrent que l’écriture de l’Histoire est subjective. Dans l’écriture de l’Histoire, la victime entreprend un rôle passif ce qui rend cette écriture un acte approprié par l’Occident qui a longtemps exercé sa supériorité sur les pays du tiers-monde. Dans un contexte littéraire, les auteures invitent les lecteurs à se méfier de l’Histoire dont le narrateur est omniscient. En définitive, cette thèse propose une nouvelle lecture de l’expérience de l’exil qui, dans l’ère actuelle, peut servir plutôt que démunir ses sujets. Cette nouvelle lecture présente l’exil comme avantageux parce que la patrie devient une entité temporelle plutôt que géographique. De ce fait, la nostalgie de l’exilé est assouvie par ses souvenirs et non par un retour à la patrie. Cette lecture propose à son tour de nouvelles définitions de la notion de l’appartenance. | en_US |
dc.language.iso | en | en_US |
dc.publisher | univ oran 2 | en_US |
dc.subject | Exile / Patrie / Nostalgie / Appartenance / Identité / Hybridité / Assimilation / Fierté Ethnique | en_US |
dc.title | Dreaming in Cuban (Cristina Gracía), The Girl in the Tangerine Scarf (Mohja Kahf), The Bluest Eye (Toni Morrison) | en_US |
dc.title.alternative | A thesis submitted in fulfillment of the requirements for the degree Doctor of Philosophy | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
dc.number.totalPage | 270 | en_US |
Collection(s) : | Doctorat Anglais |
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