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Titre: الفلسفة التأويلية ومشروع إحياء الإنسان
Autre(s) titre(s): قراءة تحللية لعلاقة الأنا و الآخر عند هانس جورج غدرمار وإيمانويل ليفيناس
Auteur(s): بن عودة, أمينة
Date de publication: 2014
Editeur: univ oran 2
Résumé: Depuis trois millions d’années nous ne sommes qu’un seul homme; lorsque Marx écrit : « l’essence humaine n’est pas une abstraction inhérente à l’individu isolé ; dans sa réalité elle est l’ensemble des rapports sociaux. nous sommes qu’un reflet passif du tout. L’homme a trois états ; il est à tour plante, animal, être pensant, et ces trois états expriment le principe unique qui le constitue. l’homme lui sel influe sur son milieu, lui seul il change, non seulement ses propres conditions d’existence mais encore celles de ses semblables et des autres créature par le travail et la pensée : cultivent la terre, par apport de l’animal, qu’il stimulé par le besoin état actif. On peut dire aussi que, l’homme ayant deux existences, l’une physique dépendant des lois et de l’armonie universelles, l’autre dépendant son propre esprit individuel toute question philosophique doit s’envisager à ces deux points de vue. il faut savoir aussi que l’homme est un animal créateur de culture, il construire de deux principe l’âme (esprit) et corps. L’essence de l’homme émerge de l’existence des fonctions mentales qui lui permettent de penser, de se souvenir, l’ai et de haïr, de créer et de détruire des civilisations. toute être humain est à la fois un esprit et un corps, et chaque individu vit deux vie parallèles, celle de son corps et celle de son esprit, la première est publique, la seconde est privée. Les êtres humains étaient faits de la juxtaposition de deux partie : naturelles et culturelle .ni le corps ni l’esprit ne peuvent être joyeux ػ ػ ػ résumé - 186 - séparément. la bonheur c’est cette création, la participation à la création continuée d’un homme toujours plus un, d’un monde toujours plus humain. la participation humain c’est la vie, le moi comme conscience séparé, c’est la mort. Ce n’est pas seulement la pensés qui nous sauve de la mort, c’est l’amour et la création, « de cette vie je n’ai appris qu’une chose : j’ai appris à aimer ; et je ne vous souhaite qu’une chose : savoir aimer « dit Aragen. L’âme n’est pas le contraire de la nature du corps ou du monde. Simplement le mouvement qui les oblige toujours à se transformer : certains appellent cela la transcendance, un autre mot pour dépassement, et qui n’y ajoute que l’essentiel : que l’on ne peut pas dépasser le passé et le présent avec les seules forces qu’ils contient déjà. La transcendance c’est le contraire de la suffisante. l’amour est la plus inédite manière de vivre la transcendance : non pas comme un dépassement de soi a partir de soi , mais comme un dépassement de soi à l’appelle de l’autre. On peut étudier l’homme a partir du cinq sujet principales : l’homme comme objet de science, l’homme caractérisé par la liberté, l’homme confrontés aux lois, l’homme et la nature l’homme et l’histoire. Mais la violence domine toute l’histoire de l’homme et de l’humanité, c’est un confit entre le moi et l’autre. « L’interdit est là parce que l’autre est déjà là. mais il faut apprendre comment rencontre avec l’autre et vivre avec lui comme Freud dit à l’autre « parle, dis tout ce que tu veux dire, tout ce que tu crois ne pas vouloir dire, tout ce que tu crois ne pas vouloir dire, tout peut être dit, je t’écouter ». ػ ػ ػ résumé - 187 - L’homme est conforté au problème d’autrui, il n’y était pas préparé. on sait maintenant clairement que sans la société humaine il n’est pas d’homme, mais il ya le moi et l’autre, les autres c’était ou bien les nôtres ou bien les ennemis. nous ne somme pas préparés à dialoguer avec autrui, à vivre avec nous – même. notre pensée habituée à la dialectique des oppositions, des luttes et des conquêtes ne peut concevoir un univers autre que polémique. Autrui, c’est à – dire cet autre nous – même avec lequel nous entretenons des rapports qui ressemblent plus aux dialogues intérieurs que nous entretenons avec nous – même qu’aux polémique avec l’autre , toujours le quelque manière en face de nous, étranger, adversaire ou allié mais toujours extérieur. Mais on veut que le dialogue avec autrui remplacera donc la dialogue dialectique avec les autres, ou apparié l’enfer comme l’absence des l’autres ,non comme dit Sartre «l’autre, c’est l’enfer »mais l’enfer c’est l’absence des l’autres et l’enfer c’est la fermeture à l’autre. On a un noble but, celle de revivification la relation humaine entre le moi et l’autre, a partir de la philosophie herméneutique qui est basée sur la pensée éthique de l’homme. C’est pour ça qu’il déclaré Gadamer : « ce que je décris la n’est rien d’autre que l’expérience humaine du monde elle – même ; je la nomme herméneutique car le processus ainsi décrit ne cesse de se répéter au niveau des choses les plus familières». ػ ػ ػ résumé - 188 - Nous sommes portés par ce qui nous est familier, parce qu’il ya accord, que nous pouvons nous intéresser à ce qui est autre, accueillir ce qui est étranger et, partant, étendre et enrichir notre propre expérience du monde. c’est aussi qu’il convient d’entendre l’universalité revendiquée au profit de la dimension herméneutique. comprendre est lié au langage. il n’ya la aucun relativisme linguistique. il est vrai que l’on vit dans une langue et nous ne sommes absolument pas emprisonnés dans une langue. La parole authentique qui a quelque chose à dire n’utilise pas des signaux convenus, mais cherche les mots à l’aide des quels on peut atteindre autrui, est une tache humaine générale. le problème de l’hermétiquement est non seulement un problème relevant de la discussion actuelle sur les manière scientifiques de penser et de philosopher, mais aussi problème humain, un problème qui porte sur la possibilité même de l’existence humaine et qui peut –être en décidera un jour. La conscience herméneutique doit son efficace propre au fait que l’on est à même de discerner qui nant d’être élevé au rang de question nous avons ainsi évoqué non seulement la tradition artistique des peuples, la tradition historique, le tout de la science moderne dans ses conditions herméneutiques mais encore le tout de notre vie et de ses expériences. nous parvenons de cette manière à rattacher l’expérience de la science à l’expérience de notre propre vie humaine en générale car se rapproche du monde par le langage, ce n’est pas l’affaire propre des sciences humaines mais c’est la situation humaine en générale, et ػ ػ ػ résumé - 189 - c’est pourquoi l’herméneutique l’intérêt qu’il ya à intégrer notre savoir, à appliquer tout savoir à notre situation personnelle est beaucoup plus universelle que l’universalité des sciences. Avec Lévinas on a devant un autre discours qui comprend la métaphysique à partir de sa geste transgressif (méta, trans) comme l’autre met en question le même, la métaphysique met question l’ontologie, comme la critique précède le dogmatisme, la métaphysiques précède l’ontologie et qualifie la relation à l’altérité comme telle, ou l’éthique se confond jusqu’à un certain point avec la métaphysiques Ethique n’est pas chez Lévinas le nom d’une branche de l’arbre de la philosophie, le nom d’une discipline. éthique est le nom de l’épreuve décisive occultée par toute la philosophie occident comme par l’égoïsme spontané du moi. « on appelle cette mise en question de ma spontanéité par la présence d’autrui, éthique ». L’autrui est l’autre homme, mais il ne faudrait surtout pas comprendre qu’autrui et moi –même sommes deux individus appartenant à un même genre (le genre humain), partageant par là la même essence ou la même existence. autrui est celui à qui l’on parle, autrui est le prochain pour autant que le terme de prochain prend un sens très précis à partir de la description de la relation de proximité. l’éthique c’est responsabilité pour autrui, ou le tiers me regarde dans les yeux d’autrui . L’autre est l’altérité et la socialité est le meilleur de l’humain. dans l’altérité du visage, le pour l’autre commande le moi, la socialité est ػ ػ ػ résumé - 190 - cette altérité du visage, du pour – l’autre, qui m’interpelle, voix qui monte en moi avant toute expression verbale, dans la mortalité du moi, du fond de ma faiblesse. cette voix est un ordre, j’ai l’ordre de répondre de la vie de l’autre homme. je n’ai pas le droit de la laisser seul à sa mort. c’est une situation humain qui me fait dire « me voici » ou « envoi - moi », et cette autorité qui me commande « tu ne tueras point » quand vous avez rencontré un être humain, vous ne pouvez pas le laisser tomber. Le visage de l’autre s’impose à sans que je puisse rester sourd à son appel, ni l’oublier, je veux dire, sons que je puisse cesser d’être responsable de sa misère. la conscience perd sa première place .comme Jankélévitch là bien dit : « nous n’avons pas de droit, c’est toujours l’autre qui a des droits ». La proximité de l’autre, origine de toute mise en question de soi. Lévinas insiste sur la signification de cette gratuite du « pour l’autre » reposant sur la responsabilité qui sommeille déjà. je suis généreux envers autrui sans que cette générosité soit aussitôt réclamée comme réciproque. Alors, on a besoin d’un dialogue entre l’un et l’autre entre les peuples et les civilisations, un véritable dialogue des civilisations n’est possible que si je considère l’autre homme et l’autre culture comme une partie de moi – même qui m’habite et me révèle ce qui me manque, à condition d’aimer les autres un par un, pas comme un collectif abstrait.
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Collection(s) :دكتوراه علم الاجتماع

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