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Titre: Les investissements directs étrangères en Algérie : Essai d'évaluation empirique de son impact sur la croissance économique entre 1990 et 2010.
Auteur(s): BEKIHAL, Mohamed
Mots-clés: Investissement direct étranger; Firme multinationale; Greenfield; Joint Venture; Fusion acquisition; Croissance économique; Modèle de Solow; Croissance endogène; Capital humain; Transfer technologique.
Date de publication: 3-jui-2013
Editeur: Université d'Oran 2 Mohamed Ben Ahmed
Résumé: Les différentes études empiriques, et même si on ne décèle pas une unanimité totale, ont démontré et confirmé l'existence d'un lien de causalité positif entre l'investissement direct étranger et la croissance économique. En effet, l'idée du rôle des IDE dans la réalisation de la croissance économique s'est accentuée avec l'avènement de la théorie de la croissance endogène. Celle-ci, et contrairement à la théorie de néoclassique de Solow, réfute l'idée de rendements décroissants du capital et elle suppose des rendements stables, ou même croissants, du capital. Ce raisonnement est lié à la conception du capital. Ce dernier n'est pas constitué seulement du capital physique (capital financier, terrains, équipements?etc) mais on y inclut le savoir faire, le stock de connaissance, la qualification des travailleurs, la formation et le capital humain en général. La théorie de la croissance endogène considère que des éléments comme le capital humain, la technologie, le stock de connaissance et le commerce international peuvent jouer un rôle important pour générer de la croissance économique ; mais tous ces facteurs peuvent être véhiculés par les IDE. En Algérie, notre étude économétrique a montré que les IDE ont un impact trop faible sur la croissance économique. Ce constat est du à la faible attractivité de l'économie algérienne. Pour bon nombre d'opérateurs étrangers, le climat des affaires en Algérie a réellement connu une avancée remarquable, mais il reste encore trop d'efforts à déployer pour captiver substantiellement les investissements directs étrangers. Bureaucratie, difficultés d'accès au foncier, inadaptation du système bancaire et autres difficultés structurelles de l'économie nationale sont toujours évoquées comme étant des obstacles limitant l'attractivité et la captivité des investissements directs étrangers en Algérie.
URI/URL: https://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/366
Collection(s) :Magister Sciences Commerciales

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