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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorMENDES, Amel-
dc.date.accessioned2019-12-09T13:12:12Z-
dc.date.available2019-12-09T13:12:12Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttps://ds.univ-oran2.dz:8443/jspui/handle/123456789/2274-
dc.description.abstract• La recomposition urbaine constitue un axe important dans les études urbaines surtout que la ville est un ensemble de dynamiques complexes et opposées, elle représente des centripètes qui engagent des formes de concentrations de fonctions, de densifications, des activités ainsi des centrifuges qui déroulent des formes extensives de moindre imbrication, de grande spécialisation, et de dispersion plus élevée, ceci qui fait la complexité de l’urbain car cette saturation centrale déclenche un accroissement à la périphérie. • La ville de Mascara n’échappe pas à ce phénomène. Elle a connu une extension considérable et une multiplication des formes d’habitat (Zhun, lotissement, coopératives immobilières…). Ce sont des programmes qui ont été réalisés en rupture presque totale avec l’ancien tissu, ainsi les transformations des anciens quartiers (Bab ali, centre colonial, fg Faidherbe…). • La ville a eu sa naissance pendant la présence des turques sous forme d’une petite cité militaire renfermant des établissements de Beylik par des remparts comportant 5 portes : celles de l’ouest, Baba li, d’oran, sidi ali mohamed, mostaganem. Cette casbah était entourée de 5 faubourgs comme la carte le montre. • Mais la colonisation française a engendré un urbanisme conditionné par des logiques variables : • L’extension de la ville au lendemain de l’indépendance a débuté après 1975, le parc de logement s’est développé sous deux formes individuelles et collectives qui correspondent aux nouvelles formes d’urbanisation (Zhun, LSP….). une ceinture de nouveaux quartiers s’est formée autour de la ville. • la ville de Mascara représente une image historique, morphologique et sémiotique spécifique due à la succession d’urbanisation selon des périodes différentes tout d’abord une ville coloniale répond à l’interprétation symbolique par ces bâtiments et maisons qui reflètent l’organisation du tissu. Et une périphérie sous forme d’une mosaïque, un tissu sans harmonie, n’assure plus la continuité du paysage urbain. • On a établi une typologie de quartiers à partir des critères qui consiste aux aspects morphologiques et sociaux. 1. Une zone centrale populaire avec une diversité fonctionnelle ou proprement dit le noyau colonial, elle se caractérise par la concentration de ses immeubles et ses équipements de services tertiaires. 2. Une zone péricentrale ou domine les quartiers résidentielles et mixes : elle forme une bande entre les deux zones centrale et périphérique, elle est composée des anciens quartiers (carte). 3. Une zone excentrique d’habitat collectifs et d’auto-construction habités par des catégories moyennes et aisés. Les enquêtes de terrain nous a permis de ressortir avec les résultats suivants : 1. Bab ali reste un quartier très sous équipé par rapport au centre ville et que l’habitat est un élément de comparaison, la dominance des immeubles coloniaux et les maisons de maitre au centre ville tandis que 68% des habitats à baba li sont des haouchs mais il existe un nouveau type des immeubles à vocation commerciale ou à usage professionnel. Ces constructions sont le résultat d’une transformation totale du bati pour des causes diverses. Ce phénomène apparait clairement à baba ali dont a enregistré 608 bâtisses complètement rénovées. 2. Les résultats représenté dans le tableau révèlent la nature des transformations établie 50% des enquêtés au centre ville ont contribué seulement des travaux d’amélioration et d’entretien du fait de l’état moyen des constructions tandis que 50% d’échantillon enquêté à baba li ont préféré reconstruire à nouveau et élargir leurs habitations. Ces mutations sont dues pour les motifs suivants : • Loger les fils mariés. • Etat dégradé de l’habitation ou création d’activité commerciale. L’autre volet de ce chapitre est d’étudier l’état du bâti, l’enquête nous a fait découvrir que 63% des constructions du centre ville sont dans un état moyen (elles sont généralement les immeubles d’habitation) par contre les maisons traditionnels de baba li sont dans un état médiocre voir ruine. Les batisses en bon état sont pratiquement les maisons de maitres et les constructions rénovées. Cet état du bâti à crée un parcellaire hétérogène. Un immeuble moderne avoisine un habitat vétuste. Notre préoccupation du chapitre 4 est d’analyser la catégorie qui opère le plus de transformations et les changements de profils des quartiers. 1. Le changement des constructions n’a aucune relation avec le niveau d’instruction des occupants contrairement aux d’autres motifs économiques et sociaux. 2. La plupart des enquêtés qui ont opéré transformations font partie de la catégorie des fonctions libérales et commerçants qui ont une capacité financière assez suffisante. Spécialement une rénovation totale.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité d’Oran 2 Mohamed Ben Ahmeden_US
dc.subjectMascara, extension, paysage urbain, Bab ali, centre ville, rénovation, tissu urbain, haouch, profil de quartier, transformation, activité commerciale.en_US
dc.titleLA RECOMPOSITION SOCIO-SPATIALE ET FONCTIONNELLE DES ENTITES URBAINES A MASCARAen_US
dc.typeThesisen_US
dc.number.totalPage148en_US
Collection(s) :Magister Géographie et Aménagement du Territoire

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